OLORON SAINTE MARIE
Lors de sa
visite à l’ospitau deth hayet d’Auberti (Lacommande) Bascougnet-Petit-Scarabée
avait franchi la frontière de son heimat, sa petite patrie. Le voici
arrivé à Oloron, de l’extérieur. Il
retrouve des souvenirs marescents, desséchés mais tenaces. Rue de la cathédrale, la carie de l’épicerie
planterose est toujours là.
Bascougnet-Petit-Scarabée n’a pas à chercher longtemps pour exhumer un
dessin à la plume représentant la rue lorsque la maison à colombages qui
abritait l’épicerie était toujours debout.
épicerie Planterose, avant démolition
L’arrière du
cadre a été demonté puis réajusté maladroitement. Bascougnet-Petit-Scarabée exhume deux lettres vraisemblablement non
expédiées et qui ne peuvent avoir été écrites que par l’abruti qui lui sert de
frère, à l’occasion d’un anniversaire. Malraux avait raison : l’homme
n’est qu’un misérable tas de secrets…
Cathédrale d’Oloron
Sainte Marie , chapiteaux trop polychromes pour être honnêtes…
…et dans la cuisine des anges,
glougloute le chaudron des sorcières…
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